Le Resto

Motus est
Comment dire... ?
Un être singulier...,
Ne parle pas...,
Mais n’est pas muet pour autant.

Il aime la musique.

Ce grand mélomane est aujourd’hui un peu tendu car
il va donner son premier récital.
Mais voila, il y a toujours un dernier petit détail
qui cloche.
Un peu comme de la musique de chambre mal rangée.
C’est à en perdre la tête mais sans jamais perdre
la face.

Attention, le voila...
Chuuuuuuuuut... ca va commencer
Enfin,... peut-être!!

Ces deux là se connaissent par cœur.

Il l’aime, mais elle ne l’entend pas de cette oreille. Petit à petit, la belle déclaration d’amour se transforme en règlement de compte saignant. L’engagement scénique est musclé et, sous la carapace de ces acrobates exigeants, c’est leur humanité qui affleure.

Accompagnés par Stéphane Filloque à la « mise en rue », Anaïs et Tom nous offrent un spectacle touchant et drôle à partager en famille. Un bout de vie, une tranche de rire .

Droit dans le mur .

"On" est qui quand on s'aime ? Spectacle mêlant danse contemporaine et Théâtre. De et avec Angélique Danguy et Christophe Toublanc.

Cocanha ou le remède polyphonique traditionnel, pour reconnecter le chant, la danse et la lenga nosta. Trois voix, ancrées, timbrées, touchantes, aux percussions sonnantes et trébuchantes.

Avec Toulouse comme point de rencontre, le trio chante haut et fort cette langue occitane du quotidien, véritable terrain de jeu vocal. Mains et pieds claquent les rythmes de la danse.

Les cours particulièrement particuliers du Professeur Van de Fruüt : une expérience théâtrale toujours inédite, tour à tour écrite et créée sur mesure.

Une création intimiste et drôle , débordante et débordée, maîtrisée et participative.

Un Professeur solitaire, des anecdotes farfelues et une envie immense de partager son savoir.

C'est l'histoire d'amour entre un petit garçon arabe et une vieille femme juive…

Ce texte écrit par l'auteur le plus énigmatique de sa génération, nous offre la possibilité, à travers leur histoire, d'avoir un regard dépourvu de préjugés religieux et culturels. Le seul conflit est face à la vie, les autres murs tombent.

La vie devant soi (prix Goncourt 1975), nous invite à suivre Momo, qui grandit dans le Belleville des arabes, des juifs, des noirs et des prostituées, qui partagent joyeusement leur misère et se débattent contre la vie « parce que ça ne pardonne pas » et « parce qu'il n'est pas nécessaire d'avoir des raisons pour avoir peur ».

Un homme attend un guide. Volubile, jovial, un brin schizophrénique il se dévoile et se laisse déborder par les personnages qui l'habitent.

D'une idylle avec Bob à sa rencontre avec Dédé le Prophète, des bancs de la fac aux plages de la Costa Brava, entre prises de conscience et désillusions fracassantes, il nous emmène dans sa singulière quête pour changer le monde.

​Mr iSi, idiophoniste, nomade est à la recherche d’un lieu de vie, rien que pour lui. Il emmène avec lui ses malles et toute sa petite vie, son barda, seul. On découvre peu à peu ses petites manies et … son compagnon de route bien rangé. Une journée presque ordinaire… où s’invite le pouvoir, l’envie, la cruauté, les mesquineries, l’amour et la complicité. Une partition visuelle poétique, burlesque et musicale.

​Au loin une silhouette de femme, frêle mais décidée.
Avec elle, un vélo-cheval et sa diligence…la poussière d’un sol aride et des gamelles qui brinquebalent…et cette petite odeur de fumée qui nous transporte vers le Far West…

Monsieur Pif est un clown. Il est seul, nomade et romantique.

A la recherche des rencontres et des petits bonheurs. Parfois, il rêve de la vie des autres...Cette fois-ci, il devient « LE SAÂDIKH ».

Avec l'espoir d'être grand. D'être aimé. Et pour le plaisir aussi. Tout simplement. Enfin presque...

L'exploit n'est pas loin mais le numéro du Saâdikh dérape un peu...Il devient naïvement imprévisible et drôlement spectaculaire.

Ils sont là, monsieur et madame tout le monde, sans rien. Une scénographie épurée, où le moteur est l’ennui et le carburant l’attente. Ils vous ramènent à l’angoisse de la page blanche. Ils veulent toujours bien faire pour mieux rater. La grantitude du rien pour montrer la petitude du tout.

Il est grand, dégingandé et mollasson, veut bien faire. Elle est petite, énergique, rablette mais tout ça la dépasse. Ils sont proches d’eux-même et du public.

Une porte, une table, deux chaises et une horloge sont les éléments du cadre de cinq huis clos amoureux.
4 couples, 1 trio, 21 figurants et 1 duo de marionnettistes s’aventurent dans le labyrinthe des relations et des identités.
Des contes d'humour, tendre, cruel et étrange, qui font voler en éclats les portes ouvertes sur l’intime.